Scène 2-Very Bad Trip.

Day 1,645, 08:49 Published in France Brazil by ramitro


Sam.D.Ramitro ou une errance dans l'emmonde
Scène 2-Very Bad Trip


Dimanche 20 mai 2012-10h33-Paris(France, Occupation Hongroise)

Tétanisé, complètement figé, je n'en revenais pas. Cela expliquait son air si peu rassurant, il venait de m'avertir que des policier m'attendaient, en bas,dans le hall. Pourquoi ? Qu'avais-je fais ?

Je me relevais en me tenant a la table de chevet. Aie, je remarquais que j'avais une douleur intense à la main droite ainsi qu'une cicatrice à la nuque qui saignait encore.
Dans cette chambre, toujours silencieuse où seule ma respiration prononcé comblait les vide, plus rien n'existait que le sang imprégnait sur ma main, je me forçais à faire fonctionner ma mémoire, a vouloir éclairé cette nuit , ce court espace où mes souvenirs étaient trouble.

Quelques embarras de voiture suffirent a me rappeler mon devoir, j’ouvris péniblement ma porte, je quittais difficilement ma chambre, ce lieu ou je fus en sécurité, avec cette musique en tête.

Quelque résident se retournaient a mon passage et les chuchotement m'encerclais.
Le bruit de mes pas sonnaient comme une hymne à la mort et chaque marche que je descendais me rapprochais de plus en plus de l'enfer.

Deuxième étage, l'escalier grinçait, la pluie battait, le vent soufflait et de plus en plus de monde s'accumulaient a leur porte pour m’épiaient d'un air haineux et de dégoût.

Premier étage, cet atmosphère pesante était toujours présente, la chaleur était étouffante. Le plus lentement possible, j’avançais.

Le hall. Mon pas sur le carrelage enclencha un long bruit sourd dans cette grande pièce. Tout le monde se retourna, le directeur, les policiers et les quelque commères attiraient par l'agitation.
Une grand voix rauque m'interpella et un robuste policier me poussa dans une petite pièce où une multitude d' hongrois aux visage froid et ferme me regardaient avec leur regard acérés et remplis de mépris.

Le directeur m'expliqua la situation :

-Ici se trouve la victime ainsi que ses camarade
-La victime ?
-Oui
-Quel victime ?
-Vous ne nous en souvenez pas ?
- Mais de quoi enf.............

Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'un grand homme, la trentaine et avec un visage couvert de cicatrice me pris par le col. Je le poussais d'un geste vif avant que sa horde d'amis dégénérés se jettent sur moi. Un premier au coup dans l'estomac, un deuxième a la mâchoire, un troisième dans le genou puis je n'ai plus compter. Mon corps rebondissais sur cette pluie de poing, sous cette explosion de colère.

Finalement au fil des coups, je me rappelais des événement de cette nuit là. Au bar, un petit groupe d'hongrois causaient autour d'une bière, moi a quelque mètres d'eux, je fus d'abord gênais par le bruit, mais au fur et a mesure que leurs conversation avançait, les insulte et les comparaison peu glorieuse qu'il faisaient de la France et des français se multiplièrent. La situation a certainement dû s'envenimait avant que je n'en vienne aux main, cela expliquait tout, mes douleurs, mes cicatrice, leurs attitude et même cette tâche rouge qui provenait certainement de ma victime.

Les coups avaient cesser. Se dressait au dessus de moi, la cible de ma fureur, l'homme aux cicatrices, sa colère les avaient fait ressaignait, ses gouttes rougeâtre heurtaient mon visage abîmé et troublaient ma vue. Je ne distinguais que de grande ombre menaçantes prêt a attaquer, enfin une main passa a travers ces grande masses noirs, la main bienveillante dû directeur. Sans dire un mots, il me mit en sécurité, dans une arrière salle.
Seul et plongeais dans mes sombres pensées, le bruit monotone de la ventilation me berçait.

Peu après l'un des policiers, l'air mécontent, entra dans la pièce. Il sortit un formulaire, nota rapidement quelque chose et me le donna.

-500 000 Frf.
-Pardon ?
-Cela fera 500 000 Frf, si vous ne voulez pas qu'il porte plainte, vous l'avez presque défigurez.
-Bien, je verrais ça avec mon entreprise, elle couvrira sans doute les frais, marmonnais-je.
-Si vous le dites.

Et reparti comme il était venu.

Je fis mes affaire et sortis. Fournaise épouvantable et soleil aveuglant, et c'est avec une cigarette à la bouche que je descendis pour la dernière fois les marches de ce jeune hôtels.

Dimanche 20 mai 2012-12h04-Paris(France, occupation Hongroise)-Marchant en territoire ennemis.

To be continued