Scène 1-Une mauvaise nuit a Paris.

Day 1,642, 14:51 Published in France Brazil by ramitro

Vous l'avez peut-être remarquer, mais j'avais écrit cet article il y a quelque semaine je l'avais retirer pour effectuer des changement. Donc mon projet d'histoire avec mon propre style.



Sam.D.Ramitro ou une marche dans l'emmonde
Scène 1-Un mauvaise nuit à Paris


Samedi 19 mai 2012-19h57-Paris(France, Occupation Hongroise )-Assis sur un banc devant un hôtel

Chaud, en cette saison et même a cette heure, plus de 28 degrés dans la capitale. Je me trouve devant cet hôtel où les gens se pressent, qui a fait grand bruit dans ce quartier aisé.
MaxHotel, le premier d'un très jeune propriétaire,
Bien sur je n'ai pas les moyen de me le payer, c'est mon employeur, un profond stupide pistonné par son père qui me paye le logement. J'entre.

Après plusieurs minutes d'attente, on me donne enfin la clé de ma chambre que les modeste gens m'envie. Luxueuse. Oui, mais ce n'est pas ce que je recherche, la climatisation fut ma priorité ainsi que le lit.



Je passais en revue les divers dossiers prodigué par mon cher patron. Il m'envoyait une fois de plus dans un de ces détestable pays, barbare et non-civilisé, où la guerre et le seul moteur économique pour les faire vivre.

Ironie, j’étais le seul français, cette nuit là, dans cette hôtel. Mes voisins furent tous Hongrois quoi de plus normal, c'est leur capitale. Moi, j'avais une autorisation spéciale pour le commerce internationale, mais il est encore trop tôt pour vous parler de mon travail et de ma destination.

Mais ils parlaient fort avec leur langue laide et agressif. Quant bien même ils se raconteraient des poème, on aurait entendu une dispute.

Je n'arrivais pas à dormir, le tumulte de l'avenue qui passé prés de l’hôtel ainsi que celui du karaoké en était la cause. Je sortis pour en toucher deux mots au directeur mais arrivant prés de son bureau je le vis avec un homme, plus âgé que lui, il le tutoyait et était très familier, j'en déduisais qu'il était de sa famille, peut-être son père. Mais le directeur avait surtout l'air gêné, je faisais donc demi-tour avant de laisser un message a sa secrétaire et comme le sommeil n’était toujours pas au rendez-vous, je me dirigeais vers ce fameux karaoké.

Endroit lumineux et coloré, où la joie de vivre était présente, tandis que quelques-uns s'alcoolisaient au bar d'autre massacraient des morceaux magnifique, cela entraîné des éclats de rire partout dans ce karaoké où l'espace d'une nuit les soucis du quotidiens s’effaçaient.



Le matin, allongé, les bras tendus et une incroyable migraine.

Ma chambre plongé dans le silence ne cessé de tourner et mon corps inerte se reposé de ce que je lui avait infliger durant cette nuit stupide. Mes yeux étaient braquer vers le plafond blanc immaculé qui faisait souffrir ma rétine, mais je n'avais pas la force de tourner la tête. Soudain une tâche, une tâche d'un rouge foncé venait de trancher ce mur lumineux. Ce seul point, ce seul pigment suffisait a me soulagé. Je ne sais pas combien de temps je suis rester comme ceci, je mesurais avec la faim qui me tordait le ventre que je devais être ici depuis bien des heures . Enfin, un bruit venait de faire éclaté cette léthargie, je me dirigeais difficilement vers ce son avant de comprendre que c'était le téléphone.

C’était le directeur, l'air inquiet et dubitatif...........

Dimanche 20 mai 2012-10h29-Paris(France, Occupation Hongroise)-Affalé dans ma chambre

To be continued