[CDVCD] Congrès de Juin et projet de réforme du CD

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[CONGRES] PRESENTATION DU CRU JUIN 2011
UN MONDE D'ALLIANCES
LE CORPS DIPLOMATIQUE FRANCAIS
[PROJET] REFORME DE LA FORMATION DES AMBASSADEURS




En ce mois de Juin 2011, les élections du Congrès vont revêtir une importance toute particulière. L'eFrance sort d'une courte, mais intense, période d'invasion totale de son territoire. L’Île-de-France a été libérée il y a peu, permettant à notre Nation de ne pas voir s'écrouler ses institutions. Une seule région donc, notre capitale, pour une élection du Congrès placée sous le signe de la reconstruction du pays. Devant un tel enjeu, le CDVCD dresse une liste de candidats mêlant parlementaires expérimentés et jeunes cavistes prêts à apporter au Congrès leurs idées fraîches.

Devant l'enjeu de ce mois Juin, nous vous appelons donc à une mobilisation de masse pour apporter au Congrès les éléments dont il a besoin pour aider à la reconstruction de notre Nation.

Votez tous, votez nombreux, et plébiscitez le CDVCD et ses initiatives (bureau des nationalisations, Manifesto PAX GALLICA).

Découvrez notre cru Juin 2011 !



1- Louis Thirion

- Le lorrain de toujours, de coeur et de sang... mais qui ne se fait élire qu'à Paris.


2- gauthier80

- Le nouveau qui a fait son entrée au Congrès le mois-dernier.


3- Dhelk

- Notre Globe-Trotteur nous revient pour élucider nos salades macédoines.


4- OnlyPokerCanJudgeMe

- Qui tient toutes les cartes (de vin) à l'international.


5- kopko

- Patron des patrons (je lui doit encore une fortune en bouteilles).


6- Yzy888yzY

- Le Samouraii du Congrès, qui, sans être PC, fait presque le boulot à la place de Chaptal !


7- Akwel

- Un petit nouveau très prometeur et graphiste en ébullition !


8- William Silverlight

- Notre maitre Jedi du Congrès.



Cyrano, président (très aviné) du CDVCD




Les rouages d'eRepublik accordent indirectement à l'internationalisation une place prépondérante. Cette internationalisation se retrouve de fait au cœur de nombreux aspects du jeu, tels que le journalisme, l'économie ou bien encore le militaire. Il est ainsi logique de voir fleurir dès la version Bêta une multitude d'alliances internationales, qu'elles soient formelles ou informelles, se disputant le contrôle de l'eMonde. Chaque grande période du jeu (Bêta, V1, Rising (V2), post-Rising (V3)) présentent chacune de grandes alliances qui ont véritablement marqué l'évolution de la situation géopolitique du Nouveau Monde depuis sa création. Le domaine des Affaires Etrangères est par conséquent une préoccupation centrale pour les gouvernements de chaque eNation. L'eFrance, soucieuse de son image et des relations qu'elle entretient avec les pays amis ou ennemis, dispose ainsi d'un organe international particulièrement structuré. Cet article visera à vous présenter notre projet de réforme additive au Corps Diplomatique, qui sera précédé, dans un premier temps, par un rappel complet des alliances actuellement actives, puis, dans un second temps, par un article explicatif du fonctionnement interne du Corps Diplomatique français.





UN MONDE D'ALLIANCES

EDEN
L'alliance EDEN (ERepublik Defence & Economy Network) est une alliance militaire composée à ce jour de la Croatie, la Roumanie, la Bulgarie, la Grèce, la Chine, l'Australie, la Bosnie-Herzégovine, l'Irlande, l'Italie, la Finlande, la Norvège, et l'Ukraine. La Biélorussie et la Corée du Sud, quant à elles, ne font pas officiellement partie de l'alliance, mais entretiennent des liens étroits avec elle. L'alliance est fondée sur le Traité d'EDEN, signé en décembre 2009, instituant le principe de "fraternité" entre ses membres, cette notion s'opposant volontairement à celle d'un pacte de défense classique.
Par le passé ennemie numéro 1 de l'alliance Phoenix (ancêtre de TERRA), l'alliance TERRA et elle coopèrent à ce jour durant des opérations anti-ONE dans le cadre de la Cinquième Guerre Mondiale. Une entente militaire inattendue qui n'a pu voir le jour qu'après le départ d'EDEN de l'Espagne et la Pologne vers ONE.


TERRA
L'alliance TERRA est une alliance militaire dont les membres actuels sont les USA, le Brésil, la Russie, le Canada, la France, l'Argentine, l'Allemagne, le Portugal, le Japon et le Chili.
Fondée aux alentours de décembre 2010, l'alliance portait le nom de PanAm. Elle est née du rapprochement entre l'Argentine et le Brésil avec les USA. Originellement dédiée à accueillir en son sein des nations issues du continent américain, le Japon devint néanmoins le premier pays "non-américain" à rejoindre l'alliance, ouvrant la porte à d'autres pays venant de continents différents telles que la France et la Russie.
Sa coopération avec EDEN lui permit d'infliger à ONE ses premières défaites lors de la Cinquième Guerre Mondiale, notamment en Amérique du Sud après une invasion du Brésil avortée de ONE.


ONE
Alliance purement européenne, ONE compte parmi ses rangs les plus puissantes nations de l'eMonde : Serbie, Pologne, Hongrie, Espagne, Suède et Macédoine. Bien que présentant moins de membres que TERRA et EDEN, ONE peut compter sur la puissance démographique inégalée de ses membres, ainsi que sur les soutiens ponctuels de l'Indonésie, de la Turquie, de la Slovaquie, de l'Iran, du Mexique, du Pérou, de la Colombie et de la Slovénie, pays proches des intérêts de l'alliance.
A l'origine, elle a été le fruit du départ respectif de la Hongrie et de la Pologne de Phoenix et d'EDEN. Mais cet embryon d'alliance fut bientôt rejoint par d'autres nations qui officialisèrent leur coopération militaire lors de la bataille de Central Hungary en février 2011. A l'horizon de mars 2011, ONE initia une série d'attaques de part l'eMonde qui conduisirent à l'éclatement de la Cinquième Guerre Mondiale.


LUNA
L'alliance LUNA consiste en un regroupement sous la forme d'une alliance militaire défensive de pays vulnérables désireux de ne pas s'aligner dans les grands conflits internationaux opposant TERRA et EDEN à ONE. Actuellement composée d'Israël, de l'Inde, de la Malaisie, des Philippines, de la Suisse, de l'Uruguay et de l'Autriche, l'alliance peut aussi compter sur les soutiens de l'Afrique du Sud et de Taiwan.
Outre la volonté de décourager les envahisseurs potentiels de ses pays membres, l'alliance vise également à construire une communauté et protéger ses membres de tentatives de Political Take Over (TOs).


ABC
ABC (Alliance of Baltic Countries) est une alliance militaire régionale composée de trois pays limitrophes : l'Estonie, la Lituanie et la Lettonie.
En dehors de l'aspect militaire, cette alliance consiste en l'instauration d'une politique étrangère commune entre ses trois membres, l'expansion de l'influence de ladite alliance, ainsi que la création d'un partenariat économique visant à booster significativement le marché intérieur des pays membres.
Le premier fait d'armes de l'alliance fut l'invasion réussie de la Biélorussie par la Lituanie et la Lettonie lors de la Première Guerre Baltique, en avril 2011.






LE CORPS DIPLOMATIQUE FRANCAIS

Nous l'avons vu plus haut, dans un monde régit par les dissensions successives entre alliances planétaires, les Affaires Etrangères sont de tout premier ordre pour assurer à sa nation une place parmi les puissants, ou, plus modestement, pour assurer sa souveraineté sans devoir subir des offensives incessantes de voisins un peu trop expansifs. Outre la politique étrangère menée chaque mois par l'équipe gouvernementale, l'eFrance a choisi de se doter d'un organisme indépendant chargé de collecter en continu des informations sur les nations alliées et ennemies, ainsi que de représenter l'image eFrançaise à l'étranger : le Corps Diplomatique.

En terme d'organisation interne, le CD a subi de nombreuses transformations au fil des mois. Actuellement, le Corps Diplomatique est dirigé par le Secrétaire d'Etat aux Ambassades (SEA), élu par ses pairs. Une pratique démocratique instituée très récemment qui a pour but d'éviter de nauséabonds "copinages" entre le président fraîchement élu et son SEA qu'il placerait à la tête du CD pour asseoir son influence sur la diplomatie française. De ce fait, le Corps Diplomatique reste relativement indépendant dans son fonctionnement, un système lui octroyant le pouvoir de régulation entre la politique étrangère gouvernementale et la situation internationale réelle, si ces-dernières sont en déphasage.


Voici l'organigramme complet du Corps Diplomatique :

SEA : Creon Mista

Argentine ▪ Cesare Borja
Allemagne ▪ EmpereurNapoleon
Brésil ▪ Sider3
Canada ▪ KaDet27
Etats-Unis ▪ Nemesis02
Japon ▪ Pamplemousse92
Portugal ▪ Christophe.luis
Royaume-Uni ▪ Koratos
Russie ▪ Ephraim Lessing
Espagne ▪ Charkk
Pologne ▪ kopko
Serbie ▪ Chococassis
Suède ▪ Saberan
Belgique ▪ Matthieu Garnier
Bielorussie ▪ Tifididl
Bulgarie ▪ BOUGUI
Croatie ▪ Anna Tolasi
Grèce ▪ Nicolas Bonaparte
Indonésie ▪ Ankor Jael
Irlande ▪ Ben Kunst
Israel ▪ oTilKo
Italie ▪ sheik tonboule
Lituanie ▪ Batz
Mexique ▪ Firejii
Moldavie ▪ Anna Tolasi
Pays-Bas ▪ Marc Duplessis
Philippines ▪ Darchelin
Nouvelle-Zélande ▪ Deuxdetens
Roumanie ▪ Anna Tolasi
Slovaquie ▪ molock'grim
Slovénie ▪ Fabio86
Ukraine ▪ Ade94
Uruguay ▪ Jessica Binai


Habituellement méconnus du grand public, les ambassadeurs français accomplissent un travail formidable au quotidien et représentent fidèlement les intérêts français à l'étranger. Leur travail nécessite une large palette de compétences et requiert d'être au fait de multiples facettes d'eRepublik. Prises de contacts régulières, rapports ponctuels, lecture des journaux nationaux, mise à jour des informations sur le pays dans la base de données du CD, tout ceci fait partie des obligations de l'ambassadeur qui se retrouve par conséquent au cœur des rapports diplomatiques français avec l'étranger. Une fonction honorable et indispensable dont il ne faut cependant pas espérer tirer une quelconque rétribution, quelle soit financière ou honorifique, si ce n'est en interne avec l'attribution de grades.

Comment accéder à cette prestigieuse fonction, me direz-vous? Quelles sont les qualités requises pour endosser le costume d'ambassadeur?

En premier lieu, il est d'usage de consulter la liste des ambassades libres puis de déposer une demande de candidature. Une maîtrise correcte de la langue anglaise est une qualité minimale requise qui sera évaluée lors d'un oral IRC au terme duquel le SEA annoncera au candidat s'il est, ou non, admis au Corps Diplomatique. Deux voies cependant s'offre au futur ambassadeur. La première, s'il est au niveau 16, consistera à épauler en tant qu'assistant un ambassadeur titulaire sur une durée de deux semaines. Suite à cette période d'essai, l'ambassadeur pourra soit rester avec son tuteur en tant qu'assistant, soit passer directement par la seconde voie. Cette-dernière consiste, pour un candidat de niveau 19 et plus ou pour un ambassadeur assistant, de prendre seul les rênes d'une ambassade mineure. La semaine précédent sa prise de fonction, le nouvel ambassadeur doit s'informer de lui-même et s'imprégner de l'atmosphère du pays dans lequel il officiera. Puis, après un mois de mission dans son ambassade, le SEA décidera si l'ambassadeur en test peut être considéré comme expérimenté et titulaire.

Un parcours qui peut sembler ardu mais qui témoigne de la volonté des dirigeants de n'intégrer au Corps Diplomatique qu'une sélection triée sur le volet des représentants français à l'étranger.





[PROJET] REFORME DE LA FORMATION DES AMBASSADEURS


Intégrer la Diplomatie française requiert une formation, des compétences, des connaissances qui dépassent quelque peu le stade de la simple implication dans la communauté eFrançaise et dans eRepublik en général. Or, curieusement, la formation des ambassadeurs se fait "sur le tas", en dépit de la mise en place d'un système de parrainage, que nous avons vu précédemment, et qui est somme toute relativement efficace. Néanmoins, bien que l'expérience d'un parrain soit profitable à un diplomate novice, il n'en est pas moins que ce dernier doit acquérir certaines connaissances, notamment historiques (cf. la complexité des jeux d'alliances) par lui-même, à l'occasion de recherches documentaires personnelles. Ceci étant, nous estimons qu'il est paradoxal de mener, d'un côté, une politique de perfection à l'égard des diplomates français, et de l'autre, de laisser les nouvelles recrues s'informer par elles-mêmes sans les guider efficacement dans leurs recherches.

Quelle(s) solution(s) pour endiguer ce nivellement de la formation? L'eFrance dispose d'un organisme tout à fait étonnant, indépendant de l'organe gouvernemental et pourtant indispensable dans l'accueil et la formation des jeunes eFrançais : l'Ecole.

L'Ecole accompagne dans les premières heures eRepublicaines, et même au-delà, les français désireux de développer leurs connaissances du jeu, de la communauté. Des rouages économiques, aux subtilités du module militaire, en passant par la formation journalistique, celle-ci met à disposition des plus curieux une palette de compétences et de documents leur permettant de mieux s'intégrer dans le jeu. En revanche, il n'a jamais été envisagé d'intégrer à l'Ecole une section de formation des diplomates novices, ce que nous déplorons.

Car le Corps Diplomatique et l'Ecole sont deux institutions indépendantes, régies par des instances ne présentant aucun lien direct et donc ne risquant aucun interférence dans la gestion de chacune. En dépit de cette garantie sécuritaire en terme de souveraineté institutionnelle, la question du rapprochement entre l'Ecole et le CD a toujours été éludée, incarnant de ce fait un "manque à gagner" en matière de formation et de performance.

Que proposons-nous? C'est très simple. Nous souhaitons que la formation des jeunes ambassadeurs passe par un partenariat poussé entre l'Ecole et le Corps Diplomatique. Concrètement, il s'agit d'intégrer à l'Ecole une section dédiée à l'enseignement diplomatique. Celle-ci serait menée, dirigée, par des vétérans, anciens ou actuels, de la diplomatie française, ainsi que par des observateurs français, tels que des journalistes spécialisés dans la question internationale. Chaque nouvelle recrue du CD devra ainsi suivre des "cours" à l'Ecole diplomatique durant la fameuse semaine précédant sa prise de fonction officielle et durant laquelle le nouvel ambassadeur doit, à l'heure actuelle, se renseigner par lui-même. L'idée est donc de substituer ces sept jours de formation aléatoire par un enseignement de qualité, dispensé par des spécialistes de la diplomatie. Le but est avant tout d'encadrer l'ambassadeur, de lui apporter des connaissances indispensables dans sa prise de fonction et ainsi le doter d'un bagage technique qui lui permettra d'œuvrer efficacement dès le début de sa mandature.



Dhelk, pour Cave Canem